Alors que le juge milanais qualifie les faits reprochés aux dirigeants d’Eni et de Saipem de corruption, ces derniers préfèrent parler de violation des procédures internes liées aux marchés. Pour eux il n’y a aucune preuve sur le versement de pots-de-vin, mais quelques déclarations font état du paiement de 197 millions d’euros pour les 7 marchés obtenus en Algérie pour un montant de 9 milliards de dollars.
Par Salima Tlemçani

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